mardi 15 juin 2021
Trois sections
– lire, corriger, analyser, créer et reproduire tracts et présentations de pratiques écologiques – à l’oral, au crayon, etc., en petit groupe
– codécider des sujets à préparer pour la prochaine classe – et de qui fait quoi
– discuter d’un thème, appuyé par des documents et/ou des témoignages
– Récapituler, planifier, décider de et organiser actions et devoirs ayant lieu avant la prochaine classe, dans un cadre relativement informel – codécider de qui fait quoi
– périodicité initiale des classes : une fois par semaine – présentielles, durée et lieu à codécider
– contact : inecodyn@singularity.fr
– site web : www.cv09.toile-libre.org
– lecture préliminaire conseillée : www.cv09.toile-libre.org section "pratique", sous-section "Jardinage : pratiques"
* l’écologie active est un terme que je viens de choisir, assez spontanément, pour fusionner pourparlers et pratiques et pour essayer de faire comprendre que l’écologie n’est pas autant ce qu’on fait soi-même chez soi mais sa contribution à l’universalisation de pratiques à bilan écologique net positif à très court terme et partout - au moins jusqu'à ce que nous reprenions collectivement la main là-dessus. Relativiser en disant « c’est ton avis et ton chemin » n’est pas du tout à l’ordre du jour ; « quel bout de chemin ensemble, comment et pourquoi ? », c’est l’ordre du jour de départ de ces classes – ce sont des classes d’écologie active, pas des classes de philosophie, bien que la philosophie autant que tout autre sujet peut y être pertinente. Et « je ne veux pas parler politique » est, à l’avis de l’auteur, la prise de position politique la plus forte, censoriale et autoritaire qui soit, tandis que « je ne veux pas parler de la politique politicienne » est tout autre chose. Tentons d’être aussi précis que flou qu’il faut, dans notre usage du langage. Les mots, ce sont des outils, des actes et même des armes.